Ce sont les associations "libre échange" et "vivre la rue" qui m'ont proposé, en 2001, d'intervenir dans la rue saint-Malo.
J'ai retenu une histoire d'enfants.
Quand le lavoir du haut de la rue fonctionnait encore, on lâchait l'eau régulièrement.
Elle dévalait la pente, au milieu de la rue.
Sur ce flux, les enfants du quartier y mettaient un sabot de bois, le premier arrivé !
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